L'ARMEE AMERICAINE PROJETAIT DES ACTES DE TERRORISME INTERIEUR DANS L' INTENTION DE PROVOQUER UNE GUERRE AVEC CUBA

par David Ruppe
ABCNEWS.com

Au début des années 60, les gros galons de l'armée américaine avaient concocté des plans secrets en vue de terroriser les villes américaines, de tuer des civils dans les rues des Etats-Unis, et même de faire sauter un navire américain afin de gagner du soutien pour une invasion de Cuba, rapporte un nouvel ouvrage. Les autorités civiles, par bonheur, allaient rejeter ces projets.

Portant le nom de code Operation Northwoods (Forêts nordiques), ces plans, paraît-il, prévoyaient éventuellement d'assassiner des immigrés cubains, d'envoyer par le fond, en haute mer, des navires transportaient des réfugiés cubains, de détourner des avions, de faire sauter un navire de la Navy et même d'orchestrer des actes de terrorisme sauvage dans certaines villes des Etats-Unis.

Ces plans furent échafaudés de façon à abuser le public américain et la communauté internationale et à gagner ainsi du soutien pour une guerre censée éliminer le nouveau dirigeant de Cuba, le communiste Fidel Castro.

Les hautes instances de l'armée américaine envisagèrent même de provoquer des pertes dans l'armée américain. Certains de leurs écrits mentionnent en effet : « Nous pourrions faire sauter un navire américain dans la baie de Guantanamo et en rejeter la faute sur Cuba » et « Publier des listes de pertes en vies humaines dans la presse américaine déclencherait une vague salutaire d'indignation nationale. »
Les détails de ces plans sont décrits dans Body of Secrets (Un paquet de secrets) (Ed. Doubleday), par le journaliste d'investigation James Bamford, à propos de l'histoire de la plus importante agence de renseignements américaine, la NSA (National Security Agency). Toutefois, ces plans n'avaient rien à voir avec cette agence, fait-il remarquer.

Par contre, ils bénéficiaient de l'approbation écrite de tous les chefs de l'Etat-Major général et, en mars 1962, ils furent présentés au secrétaire à la Défense du président Kennedy, Robert McNamara. Apparemment, toutefois, ils furent rejetés par les autorités civiles et allaient rester secrets durant quasiment 40 ans.

« Il s'agissait de documents de l'Etat-Major général. La raison pour laquelle on les a tenus secrets si longtemps, c'est que les chefs de l' Etat-Major n'ont jamais voulu les céder : ils étaient tellement embarrassants », devait déclarer Bamford sur ABCNEWS.com.

« Tout le problème de la démocratie, c'est de disposer de dirigeants répondant à la volonté publique et, dans le cas présent, c'est tout à fait l 'inverse, les militaires essaient de tromper le public américain et lui faire accepter une guerre qu'eux désirent mais dont personne d'autre ne veut. »

27 /08/2001
USA: ce qui vaut pour Milosevic ne vaut pas pour nous
Les députés des Etats-Unis s’apprêtent à voter une proposition de loi dont le but est d’empêcher tout soldat américain en mission à l’étranger d’être traduit devant la future Cour Pénale Internationale.
Autrement dit: les Etats-Unis ont forcé la Yougoslavie à livrer Milosevic au Tribunal Pénal International, pour y être jugé pour «crimes de guerre», mais si jamais un soldat américain se rendait coupable d’un massacre de civils n’importe où dans le monde (n’oublions pas ceux du Vietnam, par exemple), pas question de le juger devant une cour internationale!
Les députés américains vont plus loin encore: si cette loi n’était pas acceptée par les autres pays, ils menacent de ne pas verser les 2 milliards de dollars (près de 100 milliards de francs) de dettes que les Etats-Unis ont envers l’Onu.
Source: Marianne, n°227, 27 août 2001, www.marianne-en-ligne.fr
Marianne
24 /10/2001
L'anthrax provient des Etats-Unis
Le 24 octobre, The New Scientist, probablement le plus grand site scientifique du net, a publié des données remarquables sur la bactérie de l'anthrax, qui provoque une véritable psychose aux Etats-Unis. Cette bactérie existe sous de multiples variantes. Celle retrouvée dans les lettres contaminées aux Etats-Unis appartient au groupe «Ames».
L'origine de cette bactérie se trouve dans un congélateur du Centre britannique de microbiologie appliquée de Porton Down. Ce centre avait reçu la bactérie de l'US Army Medical Research Institute for Infectious Diseases, au milieu des années 80. Selon les scientifiques, l'anthrax utilisé provient de l'armée américaine elle-même. (www.newscientist.com)
The New Scientist
25 /10/2001
Les victimes américaines d'abord
La terreur provoquée par les attentats biologiques a radicalement modifié l'attitude des autorités américaines. Ainsi, Washington a obligé la multinationale allemande Bayer à vendre son antibiotique Cipro (ciprofloxacine), pour soigner les victimes de l'anthrax, à un tarif réduit. Les Etats-Unis ont menacé Bayer de lui retirer son brevet, permettant ainsi le développent d'un médicament générique (une sorte de produit blanc, moins cher). Bayer a fini par céder.
Les Etats-Unis font ainsi exactement ce qu'ils interdisent à l'Afrique du Sud et au Brésil. Depuis des années, ces pays supplient de pouvoir importer des variantes moins coûteuses des médicaments contre le sida. Mais les multinationales pharmaceutiques américaines refusent parce que cela entraînerait une baisse de leurs bénéfices.
Entre-temps, de plus en plus de malades du sida meurent chaque jour. (AFP, 25 octobre)
AFP

 

Laser Airborn

KIRTLAND AIR FORCE BASE, N.M. (AFPN) -- Les officiels du laser 'airborne' ont annoncé ce 9 août (ndle: 1999) qu'ils avaient reçu la livraison de la plus grande fenêtre en forme de coupole de qualité optique jamais fabriquée.

C'est une étape importante dans la production d'une fenêtre de tourelle pour le laser 'airborne', un avion qui utilisera un laser pour détruire des missiles dans un rayon de plusieurs centaines de milles.

La fenêtre de forme 'conformal' pesant 340 livres, produite par Heraeus Quarzglas, de Hanau en Allemagne, et par Heraeus Amersil de Duluth, a été mise en forme par Corning Inc. de Canton, New-York, mesures presque 60 pieds de diamètre et est constituté de matériaux spéciaux afin de répondre aux besoins exigeants du faiseau de transmission par laser à haute énergie inclus dans le programme du laser 'airborne'.

Trou noir...

16/11/1999 - Il serait possible et même facile de créer un trou noir en laboratoire. C’est du moins ce qu’affirme un chercheur d’Arabie saoudite, Murat Ozer de l’Université du roi Saoud, qui s’est livré à des calculs théoriques sur le sujet. Il s’agirait toutefois d’un trou noir d’un type un peu particulier, qui ne capturerait que les électrons et laisserait passer le reste de la matière. Le chercheur admet malgré tout que son existence pourrait menacer la survie de notre planète.

Ovni en Sibérie

Selon un rapport de l’agence Interfax, diffusé sur sur le télétexte de France 2 ce samedi 27 janvier 2001:

Un aéroport de la Sibérie méridionale a dû fermer son trafic pendant une heure et demie, vendredi 26 janvier, en raison de la présence d’un OVNI.

L’équipage d’un Ilioutchine 76 a refusé de de décoller en raison d’un objet lumineux qui s’était positionné au-dessus de la piste de décollage de l’aéroport de Barnaoul.

Les pilotes d’un autre avion cargo ont également refusé, pour la même raison, de se poser à Barnaoul. L’ovni a disparu au bout d’une heure et demie.

Cependant, ce qui est étrange c’est que cette information a eté effacée du télétexte de France2 vers les 20 heures, ce même samedi. S’il s’agit d ‘un canular, pourquoi ne pas en avoir informé le le télespectateur avant l’effacement ? Nous avons aussitôt téléphoné à France2 qui a répondu que les bureaux étaient fermés, qu’il n’y avait plus personne. Note : Barnaoul est situé à environ 175 kms au sud de Novosibirsk.


Bacille du charbon: quatre foyers et 38 personnes touchées aux Etats-Unis vendredi 19 octobre 2001, 20h31


WASHINGTON, 19 oct (AFP) - Sept personnes ont développé la maladie du charbon aux Etats-Unis depuis début octobre, dont l'une est décédée, et 31 autres ont été contaminées sans développer la maladie, selon les informations disponibles vendredi.

Quatre foyers géographiques sont concernés: le plus important est au Sénat à Washington (30 personnes contaminées). Le bacille a également été retrouvé à New York (quatre malades), Boca Raton (Floride, un mort, un malade et un cas de contamination), et Hamilton (New Jersey, une personne malade).

Le coordinateur de la lutte antiterroriste aux Etats-Unis, Tom Ridge, a précisé vendredi que 14.000 tests avaient été faits ces derniers jours dans la seule ville de Washington.

M. Ridge n'a pas mentionné cinq personnes qui ont développé en Floride des anticorps au bacille, ni trois personnes (deux policiers et un employé de laboratoire) dont le maire de New York Rudolph Giuliani avait indiqué le 14 octobre qu'ils avaient été contaminés sans être malades.


WASHINGTON (30 personnes contaminées)

- 17 octobre : 30 personnes ont été contaminées au Sénat, annonce le ministre de la Santé Tommy Thompson, revoyant à la baisse un précédent bilan de 31 personnes contaminées.

Le 15 octobre, une lettre adressée à M. Daschle et contenant le bacille de la maladie du charbon avait été ouverte dans ses bureaux.

- 19 octobre : Tom Ridge précise que quelque 14.000 personnes ont été testées à Washington.


NEW YORK (quatre malades)

- 12 octobre: Erin O'Connor, 38 ans, malade. Assistante du journaliste vedette de la chaîne de télévision NBC, Tom Brokaw, elle a développé une forme cutanée de la maladie, après avoir ouvert une lettre envoyée le 18 septembre.

- 15 octobre: un bébé de sept mois, malade. Sa mère, réalisatrice à la chaîne de télévision ABC s'était rendue au bureau avec lui le 28 septembre. Il a développé une forme cutanée de la maladie, dont l'origine reste inconnue.

- 18 octobre : une assistante de Dan Rather, journaliste vedette de la chaîne de télévision CBS, malade : elle avait constaté le 1er octobre que son visage était enflé. Elle a développé la forme cutanée de la maladie, ne se souvient pas d'avoir ouvert une lettre suspecte.

- 19 octobre : une employée du New York Post a contracté la forme cutanée de la maladie, annonce le tabloïd New York Post.


HAMILTON TOWNSHIP (NEW JERSEY) une malade

- 18 octobre : une postière a contracté la forme cutanée de la maladie du charbon, annonce le gouverneur intérimaire du New Jersey Donald DiFrancesco.


BOCA RATON (FLORIDE) un mort, un malade, une personne contaminée

- 5 octobre: décès de Robert Stevens, 63 ans. Editeur photo pour le tabloïd Sun, il meurt d'une forme respiratoire de la maladie, après avoir apparemment manipulé une lettre reçue aux environs du 19 septembre et brûlée depuis. Stevens avait été hospitalisé le 2 octobre.

- 7 octobre: Ernesto Blanco, 73 ans, malade. D'abord hospitalisé pour pneumonie, jusqu'à ce que les autorités annoncent le 15 octobre qu'il a développé la forme respiratoire de la maladie. M. Blanco travaillait au service du courrier du Sun.

- 10 octobre: Stephanie Dailey, 36 ans, "porteur sain", travaillait également au service courrier du Sun.

Deux avions s'écrasent sur les tours du World Trade Center à New York mardi 11 septembre 2001, 15h31


NEW YORK (AP) -- Deux avions se sont écrasés mardi matin sur les deux tours jumelles du World Trade Center à New York à quelques minutes d'intervalle. Aucun bilan n'était disponible dans l'immédiat.
De larges brèches et de la fumée étaient visibles sur plusieurs côtés des tours de 110 étages.

Le FBI enquête sur la possibilité que la catastrophe sur les deux tours résulte d'un acte criminel et d'un détournement d'avion, a appris l'Associated Press.

La première catastrophe s'est produite un peu avant 9h et la deuxième quelques minutes plus tard.

A Sarasota, en Floride, le président Bush se trouvait dans une classe avec des enfants à 9h05 quand le secrétaire général de la Maison-Blanche, Andrew Card, lui a appris la nouvelle. Le président a pris un air sombre avant de reprendre sa lecture. Interrogé sur ce qu'il savait de cette catastrophe, le président a répondu: ''J'en parlerai plus tard''.

Un avion s'écrase près du Pentagone
WASHINGTON (AP) -- Un avion s'est écrasé mardi près du Pentagone. Par ailleurs, l'aile ouest de la Maison-Blanche a été évacuée par crainte des menaces terroristes.
''J'ai vu la queue d'un avion. Il se dirigeait droit vers le Pentagone'', a déclaré un journaliste de la radio d'Associated Press.

Paul Begala, un consultant démocrate, a ajouté qu'il avait vu une explosion près du Pentagone peu de temps après que deux avions se soient écrasés sur le World Trade Center.

Paul Begala a ajouté qu'un autre témoin lui avait dit qu'un hélicoptère avait explosé. AP


Mardi 11 septembre 2001, 18h34
La capitale fédérale attaquée, en état d'alerte maximale


WASHINGTON, 11 sept (AFP) - La capitale fédérale a été la cible mardi matin d'au moins une attaque terroriste, qui a gravement endommagé le Pentagone, et se trouvait quasiment en état de siège, alors que tous les bâtiments officiels ont été évacués dans la crainte d'autres attentats.

Moins d'une heure après un attentat contre les deux tours du World Trade Center à New York, le Pentagone, un énorme complexe immobilier où siège le ministère américain de la Défense, a été secoué par deux explosions vers 13H20 GMT, apparemment provoquées par un avion de ligne qui est venu s'écraser contre le bâtiment, selon des témoins. L'incident a fait au moins sept blessés, selon un responsable du Pentagone.

Une immense colonne de fumée noire sortait toujours du bâtiment, dont une partie s'est effondrée, aux environs de 16h00 GMT. Le Pentagone, centre névralgique de la défense américaine, abrite quelque 24.000 employés.

"J'ai vu ce gros avion d'American Airlines arriver rapidement et à basse altitude", a déclaré un témoin de la scène, le capitaine Lincoln Liebner.

Il a précisé que l'appareil avait heurté un hélicoptère sur l'héliport du Pentagone.

Tous les bâtiments officiels, la Maison Blanche, le département d'Etat, le département du Trésor, ainsi que le Congrès américain ont été évacués dans la crainte de nouvelles attaques.

Selon un responsable du FBI interrogé par l'AFP, un autre avion détourné se dirigeait également mardi matin vers le Pentagone près de Washington, mais à 16h00 GMT, aucun autre appareil n'avait été repéré près de la capitale.

Par ailleurs, la chaîne de télévision ABC a rapporté qu'une voiture piégée avait explosé au département d'Etat mardi matin, mais cette information n'a pas été confirmée.

Peu auparavant, un journaliste de l'AFP quittant le département d'Etat avait entendu deux explosions sans pouvoir en identifier l'origine. Celles-ci provenaient peut-être du Pentagone, situé à proximité de la capitale, et non loin du département d'Etat.

Dans d'autres parties de la capitale, d'importants nuages de fumée étaient également visibles au-dessus d'un important bâtiment administratif près de la Maison Blanche, l'Old Executive Building.

En revanche, un porte-parole de la police locale de Washington a démenti des informations contradictoires qui avaient fait état d'une explosion entendue dans le secteur du Capitole, où siège le Congrès.

"Il n'y a pas eu d'explosion", a déclaré ce porte-parole de la police.

Le président américain George W. Bush, ainsi que son secrétaire d'Etat Colin Powell, ne se trouvaient pas à Washington au moment des événements, le premier se trouvant en Floride tandis que le second était en voyage officiel au Pérou.

A Sarasota, en Floride, le président américain, qui s'est exprimé peu après les attentats à New York, a cependant annoncé qu'il rentrait précipitamment à la Maison Blanche.

"Aujourd'hui nous avons eu une tragédie nationale lors de ce qui est apparemment une attaque terroriste contre notre pays", a-t-il déclaré en promettant de "pourchasser et de trouver" les auteurs de l'attaque.

Par ailleurs, l'aéroport international de Dulles, près de Washington, a été fermé sur ordre des autorités, tandis que l'organisme fédéral de l'aviation civile (FAA) a ordonné l'annulation de tous les vols commerciaux aux Etats-Unis, une mesure sans précédent.

Les nouvelles des attentats à New York, puis à Washington, ont semé la panique chez les habitants et employés de la capitale. Selon des témoins, à peine quelques heures après cette série d'attentats sans précédent, les rues continuaient de se vider.

mardi 11 septembre 2001, 20h26

Le film d'une journée catastrophe à New York et Washington --par Jerry Schwartz--

NEW YORK (AP) -- Peu avant 8h mardi heure locale, le vol 11 d'American Airlines décolle de Boston pour Los Angeles. Il n'arrivera jamais à destination. Détourné peu après le décollage, l'appareil met alors le cap vers New York au sud, au lieu de se diriger vers l'ouest.
Clyde Ebanks, vice-président d'une compagnie d'assurance se trouve au 103e étage d'une des deux tours du World Trade Center (WTC) lorsque son patron l'interpelle: ''Regarde ça''. Il se tourne et voit avec effroi un avion percuter l'autre tour jumelle. Il est 8h50.

Pour Peter Dicerbo et 44 collègues de la First Union National Bank, c'était le début de la journée de travail au 47e étage de la tour. Soudain, ''j'ai senti le bâtiment trembler. Je suis tombé au sol. Il y a eu un terrible fracas et le bâtiment a commencé à bouger, c'est ce qui m'a vraiment fait peur''. Au rez-de-chaussée, Harriet Grimm, a entendu un grand boum ''et nous avons vu un tas de débris tomber''.

Environ 18 minutes plus tard, Luigi Ribaudo, qui travaille près du WTC, a entendu un avion faisant selon lui un bruit étrange. Il a regardé en l'air et a vu l'appareil volant ''trop bas''. ''Il a allait percuter quelque chose et il s'est encastré dans (la deuxième tour) et a explosé à l'intérieur''. L'appareil était un Boeing 757 d'American Airlines reliant Washington à Los Angeles.

Les attentats ont immédiatement donné lieu à des scènes de chaos. M. Dicerbo et ses collègues ont descendu 47 étages par les escaliers. Il est sorti du bâtiment les vêtements déchirés. Les employés du WTC étaient hébétés et sous le choc.

''A peine suis-je sorti du bâtiment que la deuxième tour a explosé'', a déclaré Jennifer Brickhouse, 34 ans. ''Des débris ont commencé à tomber et la fumée à se propager. Les gens criaient, tombaient et sautaient des fenêtres'', depuis des étages élevés. Les véhicules de secours ont afflué vers la pointe de Manhattan, où se trouvent les deux tours.

Vers 9h30, un appareil s'écrase sur le Pentagone à Washington, provoquant un incendie dans le centre névralgique de l'armée américaine. Une partie du bâtiment s'effondre, envoyant des nuages de fumée sur la capitale fédérale.

A 9h50, une heure après le premier crash, une des tours du WTC s'effondre. Il y a eu un bruit étrange d'aspiration, puis celui des étages s'effondrant, et un énorme déplacement d'air suivi par un vaste nuage de fumée, de poussières et d'autres débris.

Vers 10h, le vol UA93 de la United Airlines reliant Newark à San Francisco s'écrase à 130km au sud-est de Pittsburgh. Le Boeing 757 avait décollé à 8h01 avec à son bord 38 passagers, deux pilotes et cinq personnels de bord.

Les bâtiments du pouvoir fédéral commencent à être évacués dans tout le pays, notamment le Capitole et la Maison Blanche. L'Administration de l'aviation civile (FAA) suspend tous les vols dans la pays. Les Nations unies ferment leurs portes. A New York, les tunnels et les ponts sont fermés.

A exactement 10h30, la seconde tour jumelle s'effondre à son tour après l'explosion du sommet du bâtiment dans un nuage de fumée et de poussières. Des personnes fuyant en courant le bâtiment pour se mettre à l'abri sont projetées au sol. Une nouvelle chape de fumée et de poussières recouvre la zone.

A 12h, United Airlines annonce le crash d'un autre de ses avions dans un endroit non précisé. Il s'agit d'un Boeing 767 transportant 56 passagers, deux pilotes et sept personnels de bord. Le vol UA 175 avait quitté Boston à 7h58 à destination de Los Angeles

Les Etats-Unis victimes de la plus grande offensive terroriste jamais lancée


NEW YORK, 11 sept (AFP) - Les Etats-Unis ont été victimes mardi de la plus grosse offensive terroriste jamais lancée, et sans doute la plus meurtrière, qui a frappé des lieux symboles de l'hégémonie américaine à New York et à Washington.

Le président George W. Bush a évoqué une "tragédie nationale" lors d'une "attaque terroriste apparente" et promis de "pourchasser et punir" ses auteurs. Les forces armées américaines sont en "état d'alerte maximale", a déclaré le président, qui se trouvait en Louisiane (sud).

Aucun bilan officiel n'avait été donné à 19H00 GMT, mais les morts pourraient se compter par milliers, vu l'heure et le lieu des attaques. Un porte-parole de la police de New York a indiqué à l'AFP qu'il était encore trop tôt pour un bilan.

Toute la journée, les Américains ont suivi en direct le film tragique d'une série d'attentats qui ont jeté la panique dans les rues de New York et à Washington.

Deux avions de ligne apparemment détournés ont d'abord percuté à quelques minutes d'intervalle, aux environs de 9H00 locales, les deux tours géantes du World Trade Center à New York, réduites en cendres une heure plus tard. Quelque 40.000 personnes travaillaient quotidiennement au World Trade Center.

Deux autres appareils se sont ensuite écrasés, l'un en Pennsylvanie et l'autre à Washington sur le Pentagone, énorme complexe immobilier où siège le ministère américain de la Défense, faisant un nombre indéterminé de victimes.

Le Pentagone a été évacué, ainsi que la Maison Blanche, le département d'Etat (ministère des Affaires étrangères) et le département du Trésor. Le maire de Washington Anthony Williams a décrété l'état d'urgence dans la capitale fédérale pour une période indéterminée.

Aucune revendication n'avait été enregistrée à 19H00 GMT pour ces attentats qui ont semé la consternation à travers le monde. Le président palestinien Yasser Arafat les a fermement condamnés, à l'instar des principaux alliés de Washington, notamment Israël et l'Union européenne, et du président russe Vladimir Poutine.

L'explosion et l'effondrement des célèbres tours jumelles a fait un nombre "terrible" de victimes, a annoncé le maire, Rudolph Giuliani, qui a demandé aux habitants de quitter le sud de Manhattan.

Dans les rues, des piétons recouverts de poussière couraient dans tous les sens, des voitures de police passaient en trombe toutes sirènes hurlantes et des témoins en pleurs, hagards ou en prière, s'effondraient sur les trottoirs.

"J'ai entendu un grondement énorme au-dessus de ma tête. Un avion commercial est rentré droit dedans", a témoigné Mark Obenhau, qui se rendait à sa station de métro à proximité des tours jumelles lors du premier impact.

Un employé travaillant au premier étage d'une des tours a raconté : "au moins 14 personnes ont sauté par les fenêtres".

La compagnie American Airlines a annoncé la perte de deux avions de ligne transportant au total 156 personnes, mais n'a pas indiqué s'il s'agissait des appareils ayant percuté le World Trade Center. United Airlines a également annoncé la perte de deux avions, transportant au total 110 personnes, dont celui qui s'est écrasé en Pennsylvanie.

Même si les attentats n'ont touché que la côte est, le gouverneur de Californie Gray Davis a ordonné la fermeture de tous les bâtiments du gouvernement dans son Etat. A San Francisco, le maire a également ordonné la fermeture des principaux monuments et bâtiments. Les écoles ont été fermées.

Les parcs d'attractions de Disneyland (Californie) et de Walt Disney World (Floride), ont aussi fermé leurs portes, de même que les studios de cinéma Universal à Los Angeles.

Les alliés des Etats-Unis à travers le monde, l'OTAN, l'Union européenne, les chefs d'Etat ou de gouvernement de plusieurs pays européens, le gouvernement israélien, le président palestinien Yasser Arafat et le président russe Vladimir Poutine, ont adressé des messages de sympathie aux autorités américaines.

En revanche à Gaza, un haut responsable du Jihad a vu dans les attentats la conséquence de "la politique américaine dans la région la plus chaude du monde (NDLR : le Proche-Orient)". Des dizaines de réfugiés palestiniens ont également manifesté leur joie à l'annonce de ces attaques en tirant en l'air.

Le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), basé à Damas, a affirmé n'avoir aucun lien avec ces attaques.

Le régime taliban au pouvoir en Afghanistan, où vit Oussama ben Laden, a également démenti tout rôle du milliardaire d'origine saoudienne, recherché par la justice américaine pour les attentats anti-américains de Nairobi et Dar es-Salaam, qui ont fait 224 morts et des milliers de blessés en 1998.

Les attentats de New York et Washington pourraient porter "la signature d'Oussama ben Laden", a cependant déclaré le sénateur américain Orrin Hatch (républicain).

La vague d'attaques terroristes a également provoqué un séisme sur les marchés financiers, en chute libre en Europe et à Sao Paulo, tandis que les cours du brut grimpaient en flèche, tout comme ceux de l'or.

Avec l'annulation de tous les vols commerciaux et la fermeture des bourses américaines, une grande partie de l'activité économique des Etats-Unis tournait au ralenti mardi.


Les élections américaines : le voile de la conspiration commence à être levé
Par Barry Grey
Le 14 novembre 2000

De nouvelles informations publiées dans la presse éclaircissent davantage les événements extraordinaires de la nuit de l'élection présidentielle des 7 et 8 novembre derniers aux États-Unis. Ces informations laissent entrevoir une tentative éhontée de l'organisation de la campagne républicaine de George W. Bush de tromper les chaînes de télévision et de s'emparer de la présidence par la ruse.

Tant le Washington Post que le New York Times ont rapporté succinctement que l'employé de la chaîne Fox qui avait annoncé tard dans la nuit de mercredi que Bush l'avait emporté en Floride et par conséquent la présidence n'est nul autre que le cousin germain de George W. Bush et de son frère Jeb qui est quant à lui gouverneur de la Floride.

L'homme en question, John Ellis, dirigeait le centre de reportage des décisions électorales de la chaîne Fox. Selon l'article « Bad Call in Florida » (Mauvaise prédiction en Floride) rédigé par Richard Morin, directeur des sondages au Washington Post, c'est de son propre chef qu'Ellis a déclaré son cousin vainqueur sans que la moindre nouvelle en ce sens ne lui ait été communiquée par le Voter News Service (VNS), le consortium organisé par les chaînes télévisées qui fait des projections pour tous les États à partir de sondages des votants à la sortie des bureaux de scrutin.

Suite à cette déclaration sur Fox, les chaînes CNN, ABC, NBC, et CBS ont emboîté le pas en publiant des résultats semblables, ce qui a emmené le candidat démocrate Al Gore a annoncé peu après par téléphone à George W. Bush qu'il lui concédait la victoire. Ce qui paraît être un complot entre Bush et son cousin à Fox a presque réussi. Gore était sur le point de concéder publiquement sa défaite lorsqu'il a reçu un coup de téléphone d'officiels démocrates en Floride l'informant que l'avantage de Bush en Floride était beaucoup moins important que ce que les médias avaient annoncé et qu'il diminuait rapidement. Gore a donc retéléphoné à Bush pour lui annoncer qu'il avait changé d'avis.

Morin écrit : « VNS n'a jamais annoncé que Bush l'emportait en Floride. Fox News fut la première chaîne à annoncer une victoire des républicains dans cet État alors qu'ils parti ne détenaient qu'un avantage seulement dans les votes comptés. Fox a annoncé la victoire de Bush à 2 h 16. Ironiquement, la décision d'annoncer la victoire de Bush est de John Ellis, chef du bureau de couverture des élections à Fox et également cousin de Bush ».

À 3 h dans la nuit de mercredi, toutes les chaînes avaient retiré leurs prédictions d'une victoire de Bush en Floride et déclaré que l'on ne pouvait prédire les résultats de l'élection. Le remarque ironique de Morin prouve que les rapports de parenté entre Ellis et le candidat républicain étaient connues des médias. Mais jusqu'ici personne n'en avait informé le public.

Un article à la une du New York Times du 13 novembre présentait Ellis comme un partisan de Bush qui entretenait des contacts intimes avec les membres de la campagne républicaine. L'article du correspondant politique Richard L. Berke cite longuement Ellis sur la stratégie préélectorale adoptée par les républicains et les discussions au sein du parti après les élections, soulignant même qu'Ellis « était fréquemment en contact avec M. Bush ».

Pourtant ni le Washington Post ni le New York Times ne s'inquiètent de ces relations politiquement incestueuses entre l'équipe Bush et le journaliste de Fox qui a joué le rôle principal dans cette tentative de faire basculer les résultats des élections pour les républicains. Leur réaction devant ce fait sinistre souligne l'importance des relations corrompues entretenues entre la presse et l'aile droite des républicains.

La révélation du rôle joué par Ellis met en relief la chaîne étonnante des événements survenus entre mardi soir et mercredi matin. Elle met l'accent sur un aspect des élections américaines habituellement dissimulé au public : la collusion entre les médias et les forces politiques de droite favorisée par les conglomérats qui contrôlent les nouvelles. Comme les agents politiques des deux partis le savent bien, les médias sont loin de jouer un rôle passif dans le processus électoral américain, et leurs prédictions la nuit de l'élection peuvent avoir un impact décisif sur le déroulement et même le résultat final d'une élection chaudement disputée.

Lorsque les médias sur la base des rapports du VNS ont déclaré que Gore l'avait remporté en Floride à 19h50 mardi soir, le clan Bush savait que ses chances de gagner avaient presque disparues. Bush et ses principaux conseillers ont alors quitté leurs suites d'hôtel pour se rendre à la maison du gouverneur d'où ils ont lancé une tentative désespérée pour faire changer les prédictions ayant trait aux résultats de la Floride.

Maintenant que l'on sait que des dizaines de milliers de bulletin de votes mal conçus et destinés à Gore ont été rejetés ou accordés au candidat d'extrême-droite Patrick Buchanan, il apparaît clairement que la prédiction initiale d'une victoire démocrate en Floride basée sur les sondages des électeurs reflétait bien les sentiments de l'électorat. Bush a pris la décision sans précédent de faire entrer les journalistes à la maison du gouverneur pour fustiger leurs prédictions à propos des résultats en Pennsylvanie et en Floride et prédire qu'il allait finalement gagner la Floride. Cette conférence de presse impromptue allait à l'encontre de toute tradition électorale qui veut que les candidats restent silencieux avant de déclarer leur victoire ou de reconnaître leur défaite. Quelques minutes seulement après l'intervention de Bush, les médias changeaient soudainement d'avis. Ils retiraient les votes accordés à Gore au collège électoral de la Floride en déclarant ces résultats contestés. Hormis de vagues mentions à propos de « données erronées », les chefs d'antenne n'ont offert aucune explication pour ce revirement de situation.

Dès les premières heures dans la nuit de mercredi, il était clair que le résultat national dépendrait des résultats en Floride. C'est à ce moment que la chaîne Fox appartenant à l'ultraconservateur Rupert Murdoch faisait l'annonce extraordinaire de la victoire de Bush en Floride et à la présidence.

La convergence de ces trois facteurs ­ les étranges changements de cap des médias, le contrôle du gouvernement de la Floride par le frère de Bush, et le rôle de son cousin à Fox ­ est suffisante pour commander la tenue d'une enquête détaillée sur les machinations survenues entre l'équipe de la campagne Bush et les médias. À la lumière des événements politiques récents ­ et plus particulièrement du complot républicain pour déposer un président réélu au moyen d'un coup pseudoconstitutionnel ­ une conspiration criminelle visant à voler l'élection en faisant appel à des décomptes frauduleux de bulletins et à la manipulation des résultats apparaît lentement. Toutes les démarches entreprises par l'équipe de la campagne Bush depuis l'élection vont dans le sens de cette interprétation. Depuis leur tentative controversée d'imposer précipitamment leur victoire à l'opinion publique en annonçant la création d'une équipe présidentielle de transition, en passant par leurs efforts pour bloquer tout décompte exact des votes en Floride, les membres du camp Bush ont démontré qu'ils étaient prêts à voler les élections sans respecter la décision des électeurs.

Quelle était la nature des propos tenus par les officiels de la campagne Bush à CNN, ABC, CBS, NBC et Fox pour qu'ils puissent les convaincre de changer d'avis sur les résultats électoraux en Floride ? Que savent exactement George W. Bush et son frère Jeb des irrégularités électorales et de l'intimidation des électeurs qui sont survenues en Floride ? Comment pouvaient-ils être aussi certains que la Floride leur reviendrait ? Quelles discussions ont eu lieu entre le personnel de la campagne présidentielle de Bush et John Ellis de la chaîne Fox ? Les responsables de la campagne Bush et des médias doivent répondre à ces questions comme à une foule d'autres.

Les événements de la semaine dernière démontrent que si Bush entre à la Maison Blanche, l'extrême-droite républicaine n'hésitera pas à utiliser son contrôle du pouvoir étatique pour piétiner les droits démocratiques et lancer des assauts sans précédent sur la classe ouvrière. Les travailleurs doivent s'interroger : si l'entourage de Bush accepte d'utiliser des méthodes criminelles pour arriver au pouvoir, quelles méthodes sont-ils prêts à utiliser pour défendre leur pouvoir contre les manifestations et la résistance de la base ?


Une nouvelle planète au-delà de Pluton
En étudiant les trajectoires de comètes, un astronome aurait découvert l’existence d’une planète géante située mille fois plus loin du Soleil que Pluton.

Grande-Bretagne

07/10/1999 - Notre système solaire compte une dixième planète, mille fois plus éloignée du Soleil que Pluton. C’est du moins ce qu’affirme un astronome britannique, John Murray, dans un article qui sera publié la semaine prochaine dans le bulletin mensuel de la Royal Astronomical Society. Cette nouvelle planète n’a pas encore été observée directement, mais on a déduit son existence de certaines anomalies dans l’orbite de comètes.


La nouvelle planète serait beaucoup plus grosse que Jupiter.
John Murray est un spécialiste des comètes à longue période. Il s’agit de comètes dont l’orbite les mène très, très loin du Soleil, dans une région aux limites du système solaire nommé le nuage d’Oort. Ce nuage contient, croit-on, des millions de comètes. Certaines, pour une raison mal connue, adoptent soudain des orbites qui les mènent près du Soleil. Cette « raison mal connue », selon l’astronome, serait la présence d’une dixième planète dans ce secteur.

En étudiant en détail la trajectoire de 13 comètes, John Murray postule l’existence d’une planète située à 32 000 unités astronomiques (la distance Terre-Soleil), soit une demie année-lumière. Pluton, par comparaison, n’est qu’à 29 unités astronomiques du Soleil. Il s’agirait d’une planète géante, plusieurs fois plus grosse que Jupiter, qui compléterait une orbite du Soleil en six millions d’années environ, contre 248 ans pour Pluton. Cette mystérieuse planète tournerait en sens inverse des autres, ce qui donne à penser qu’il s’agit d’une planète errante capturée il y a longtemps par l’attraction du Soleil.

John Murray doit prononcer la semaine prochaine une conférence en Italie où il donnera plus de détails sur sa théorie. Il estime pour l’instant qu’il n’y a qu’une chance sur 1 700 pour que les anomalies de l’orbite des comètes soient le fruit du hasard. John Matese, de l’Université de la Louisiane à Lafayette, affirme lui aussi découvert une nouvelle planète par des moyens semblables. Ses travaux seront publiés prochainement dans la revue Icarus.


Philippe Gauthier

BBC et Révélations

Une étrange projection s'est déroulée au sénat dans le courant du deuxième trimestre 2001 à l'attention en priorité des sénateurs et autres personnes qui y ont été conviées. Etrange, pour une institution de la République, car cela concernait le sujet des OVNIS, appelés aussi des soucoupes volantes. Toujours est-il que les sénateurs présents à cette projection sont sortis perplexes, s'abstenant de tout commentaire sur ce sujet épineux, et préférant louvoyer poliment ou changer de sujet. Ce qui est encore plus étrange, c'est que la presse française n'en n'a pas soufflé le moindre mot. Ce reportage m'avait-on dit devait être rediffusé paraît-il sur France 2, mais en réalité cela n'a pas été fait, raison pour laquelle je décide de vendre la mèche sur ce site Internet. Il y a vraiment beaucoup d'informations qui sortent de l'ordinaire et qui passent à la trappe en France, et on ne sait pour quelle étrange raison. L'autres fois c'était la perte de contrôle des 4 satellites russes, ce n'est pourtant pas une broutille, mais les grands médias s'évertuent à ne pas faire leur travail.
Sur ce sujet OVNI, il y a encore plus spectaculaire, les américains en allumant leur poste de télé ou de radio, se sont demandés s'ils ne se replongeaient pas dans un remake à la Orson Wells. Des officiers, agents des services de renseignement et personnalités gouvernementales ont participé à une conférence le 09 mai 2001 à Washington organisée par le Dr Greir. Ils ont affirmé que les engins intelligents extraterrestres et les civilisations avancées étaient une réalité en présentant des preuves et documents d'origine gouvernementale. Il a été affirmé au cours de cette conférence que des contacts avaient eu lieu entre les autorités militaires, et des entités extraterrestres. Vrai ou faux, en France on n'a vu aucun document. Une puissance destructrice sous contrôle d'agences échappant à l'autorité présidentielle a été développée. Il a été aussi affirmé que des budgets considérables avaient été détournés pour des projets dont même le Président des États-Unis ignorait l'existence. Cela ne me surprend pas, car j'ai moi-même découvert en enquêtant sur le réseau Echelon et la quantité de mise en orbite et de satellites réellement opérationnels, une différence inexplicable. Par exemple au hasard, je prend des chiffres faux et arrondis pour simplifier, si vous faites 400 lancements, que vous avez 50 échecs, et 50 réussites, où est passé l'argent qui devait financer les 300 autres lancements de satellites. Il y a un très gros problème de comptabilité. Cet argent à donc pu servir à financer effectivement des projets et recherches inavouables au grand public. Une autre conférence sur les OVNIS a eu lieu le 23/06/2001 à Boulder dans le Colorado, une s'est déroulée en Allemagne et une autre encore a eu lieu à Paris le 28 et le 29 mai 2001.
Si la BBC a évoqué ce sujet, là encore, on ne sait pour quelle raison, un silence total a été entretenu dans la presse française.

vendredi 19 octobre 2001, 18h07


Un agent d'entretien jette à la poubelle une oeuvre de Damien Hirst
LONDRES, 19 oct (AFP) - Une oeuvre de l'artiste britannique Damien Hirst a été sauvée de justesse de la benne à ordure après qu'un agent d'entretien eut jeté à la poubelle le travail de l'artiste, qu'il avait confondu avec un tas de détritus, a expliqué vendredi une galerie londonienne.

"Je n'ai pas pensé une seconde que ça pouvait être de l'art", a expliqué Emmanuel Asare, le préposé à l'entretien de la galerie Eyestorm.

L'oeuvre avait été réalisée à partir de bouteilles vides, de cendriers pleins de mégots, de tasses à café sales et autres vieux journaux disposés de façon aléatoire dans un coin de la galerie.

Damien Hirst, bien que lauréat du très célèbre prix Turner en 1995, ne s'est en rien offusqué de l'erreur de l'agent de nettoyage, qu'il aurait même trouvée "très amusante" selon la presse britannique.

Nombreux sont en effet les profanes qui se seraient laissés prendre. L'oeuvre d'art, que l'agent d'entretien avait malencontreusement prise pour les restes d'une soirée bien arrosée, avait été créée la veille ... à partir des rebuts de la soirée de vernissage de la nouvelle exposition.

L'installation avait été imaginée par Damien Hirst lors du vernissage mardi soir et devait représenter un atelier d'artiste en désordre.

C'est le lendemain qu'Emmanuel Asare avait découvert la nouvelle oeuvre. "Quand j'ai vu le bazar qu'il y avait je n'ai pas pu me retenir de soupirer", a-t-il expliqué, avant d'ajouter: "Pour moi, ça ne ressemble pas vraiment à de l'art, c'est pour ça que j'ai tout mis dans un sac poubelle et que je l'ai jeté".

L'erreur a été réparée en replaçant les objets récupérés de la poubelle conformément à leur disposition, en se référant à des photos prises lors du vernissage.

Damien Hirst, 35 ans, est une des figures les plus connues de l'art contemporain britannique. Il fait parti du groupe connu sous le nom de Young British Artists (Jeunes Artistes Britanniques).

Il s'était fait remarquer au début de sa carrière avec des oeuvres comme "L'impossibilité physique de la mort dans l'esprit d'une personne vivante", constituée d'un requin placé dans une immense boîte. Le grand public l'avait, lui, découvert en 1994 quand une de ses oeuvres - un veau placé dans une boîte transparente remplie de formol - avait été saccagée lors d'une exposition à Londres.

Ses oeuvres se vendent habituellement pour plus de 40.000 livres (64.000 EUR).


L'espace, seul espoir de survie de l'humanité selon Hawking


LONDRES (Reuters) - L'humanité risque de disparaître d'ici la fin du millénaire, balayée par un virus implacable, sauf si l'homme se décide à coloniser l'espace, affirme le scientifique britannique Stephen Hawking.


"Je ne pense pas que la race humaine survivra aux prochaines mille années, à moins qu'elle ne se disperse dans l'espace. Il y a trop d'accidents qui peuvent mettre en péril la vie sur une seule planète", déclare-t-il dans une interview publiée par le Daily Telegraph.


Ce sombre pronostic intervient au moment où la psychose du bacille du charbon prend de l'ampleur aux Etats-Unis. Si les enquêtes n'ont pas permis jusqu'à présent de déterminer l'origine des cas d'anthrax récemment diagnostiqués outre-Atlantique, la crainte d'une attaque bactériologique en riposte aux bombardements sur l'Afghanistan se répand dans l'opinion.


Selon Hawking, qui enseigne les mathématiques à Cambridge, l'Apocalypse ne résultera pas d'un holocauste nucléaire, comme on le redoutait durant la Guerre froide, mais pourrait survenir sous des formes plus insidieuses et invisibles.


"A long terme, la biologie m'inquiète davantage. Les armes nucléaires nécessitent des moyens importants, alors que le génie génétique peut être mis en oeuvre dans un petit laboratoire. Vous ne pouvez pas contrôler chaque laboratoire dans le monde", dit-il.


L'auteur du best-seller "Une brève histoire du Temps" reste toutefois optimiste. "Nous atteindrons les étoiles", affirme-t-il.

Il tue sa femme au marteau pour un mauvais café, lundi 15 octobre 2001
ROME (Reuters) - Coupable de lui avoir servi un mauvais café, un Italien âgé de 84 ans a tué sa femme à coup de marteau.

"Le café était infect, alors j'ai jeté la tasse par terre. Ma femme a hurlé et je l'ai giflée. Ensuite, je me suis emparé d'un marteau pour la frapper", a raconté aux magistrats l'époux irascible.

Selon l'agence de presse Ansa, c'est un voisin qui a découvert le corps de la malheureuse et alerté la police de Bari, dans les Pouilles.

Le coupable a fini par avouer son crime.

Quand le portable s'installe, les fantômes détalent
LONDRES (Reuters) - Les téléphones mobiles éliminent les fantômes, affirme dimanche un spécialiste britannique de l'occultisme.

Les témoignages d'apparitions de fantômes ont commencé à diminuer lors de l'introduction des premiers portables il y a une quinzaine d'années, a déclaré Tony Cornell, de la Société de recherche en parapsychologie, à l'hebdomadaire Sunday Express.

"Les apparitions de fantômes sont restées constantes pendant des siècles. Il y a trois ans, nous recevions encore deux nouveaux signalements de fantômes par semaine", a-t-il expliqué. "Mais avec l'introduction des téléphones mobiles il y a 15 ans, ces témoignages ont commencé à diminuer, à tel point que nous n'en recevons plus du tout".

Les phénomènes paranormaux, que certains spécialistes attribuent à une activité électrique particulière, seraient perturbés par les émissions des combinés mobiles.

Les sites "hantés" qui attirent de nombreux touristes en Grande-Bretagne, pourraient même être menacés si les portables continuent à se multiplier, écrit le Sunday Express.

Le magicien Copperfield aurait pu gagner au loto allemand, 15 octobre 2001
BERLIN (Reuters) - L'illusionniste américain David Copperfield, qui avait prédit il y sept mois les numéros gagnants de la loterie nationale allemande sortis samedi dernier, a déclaré dimanche avoir été assailli de demandes de joueurs voulant les obtenir avant le tirage.

Le 17 février dernier, Copperfield avait mis noir sur blanc la combinaison gagnante du gros lot de plusieurs millions de marks prévu samedi 13 octobre. Les 7 chiffres ont été déposés sous scellés chez un notaire et enfermés dans un coffre soigneusement gardé.

Une heure après la sortie des numéros gagnants, le coffre a été ouvert en direct à la télévision et les nombres choisis par le magicien ont été révélés.

"Ce n'est pas un tour", a déclaré Copperfield au quotidien Bild am Sonntag. "Il s'agissait plus d'un exercice mental et expérimental. Nous utilisons seulement 10% des capacités de notre cerveau."

Copperfield a précisé qu'il ne participait pas aux loteries parce qu'il les trouve ennuyeuses. "Je ne suis pas un parieur", a-t-il affirmé.

Le magicien a déclaré que des centaines de personnes s'étaient adressées à lui depuis février pour connaître les bons numéros.

lundi 15 octobre 2001, 11h55

Terre et Lune, mêmes matériaux
Des géologues suisses ont déterminé la proportion en isotopes de l'oxygène, à partir d'une trentaine d'échantillons lunaires, et ont découvert qu'elle ne différait en rien de celle de notre planète. Des isotopes sont des éléments chimiquement identiques (ils ont le même numéro atomique) mais ont des masses atomiques différentes.

Les scientifiques de l'École polytechnique fédérale de Zurich ont été surpris de constater que les deux planètes sont constituées de matériaux identiques alors qu'elles sont si différentes. Sur la Lune, il n'y a ni champ magnétique, ni atmosphère. Il n'y a pas la couche d'air pour servir de filtre. L'absence d'atmosphère fait que le passage du soleil à l'ombre fait chuter brutalement la température de plus de 100 degrés Celsius à moins 100 degrés.

L'étude des roches lunaires confirme la théorie de l'impact géant. Théorie selon laquelle une forme primitive de la Terre a heurté une planète trois fois supérieure à la taille de Mars, il y a entre 10 et 50 millions d'années. De cette collision, sont nées la Terre et la Lune. La plupart des débris se sont rassemblés en un disque de matière autour de la Terre pour former la Lune. Puis celle-ci s'est éloignée de notre planète tout en ralentissant son mouvement de rotation.

La lune est l'astre le plus proche de la Terre. Elle en constitue l'un des deux satellites naturels. La Lune est indispensable à la stabilité des conditions climatiques de notre planète car elle la maintient sur son axe qui, si elle n'était pas là, serait incliné de 0 à 90 degrés. Ainsi à 90°, il y a 6 mois de nuit et 6 mois de jour et les pôles sont à l'équateur. Le climat devient trop chaud et trop froid pour que la vie s'installe. D'autre part, c'est grâce aux marées, donc à la Lune, que la vie a pu sortir des océans.


vendredi 19 octobre 2001, 16h59


La guerre psychologique du terrorisme bio-chimique

Des chercheurs se penchent cette semaine dans la revue British Medical Journal sur les conséquences psychologiques et sociales des attaques bioterroristes. Ils considèrent que les dégâts psychiques occasionnés par la crainte d’un danger mal connu et non contrôlé est pire que ses effets physiques.

Bien que les armes chimiques et biologiques aient des portées limitées soit dans l’espace soit dans leur mise en application, « ce sont les armes de la terreur par excellence », affirme Simon Wessely, professeur de psychiatrie à Londres, dans un éditorial de la revue BMJ.

« En suscitant l’effroi, la confusion et un futur incertain », ces armes, selon Wessely, constituent un instrument de vengeance d’ordre psychologique. Leurs effets se présentent sous deux aspects, l’un aigu l’autre à long terme. « Il est normal de s’attendre à un état de panique générale si de telles armes sont effectivement utilisées ou même juste envisagées », poursuit-il.

Le chercheur reconnaît qu’il est difficile de prévoir la façon dont va se matérialiser cette peur mais il rappelle que l’on connaît déjà une réaction psychologique qui commence à se matérialiser, c’est ce qu’il nomme la ‘maladie sociologique de masse’.

Le 29 septembre 2001, 16 collégiens de Washington et un professeur ont été admis à l’hôpital à la suite de fumées colorées ayant suscité une panique provoquée par la crainte d’une attaque bio terroriste.

Le 3 octobre, plus de 1000 étudiants de différents pays ont cru ressentir des symptômes grippaux à la suite de rumeurs d’attaques bioterroristes et ont investi les cliniques.

Le 9 octobre, un homme a reçu une vaporisation d’une substance inconnue dans le métro du Maryland, ce qui a conduit 35 personnes à se plaindre soudainement de nausées, de maux de tête et de gorge. En fait, le vaporisateur contenait du lave vitres.

Wessely met également en garde les autorités de sécurité sur les dangers de la propagation et de l’amplification des peurs pouvant avoir un impact considérable sur le psychisme. Il dit par exemple que « la mise en place de capteurs chimiques dans le métro de Washington peut engendrer des désordres du système de transport plus importants que l’attaque elle-même ». Plus de 4000 alertes ont été enregistrées lors de la guerre du golfe et aucune n’a été réelle », ajoute-t-il.

Le climat général de malaise existant aujourd’hui et l’anxiété présente depuis notamment la guerre du golfe (pour laquelle aucune publication n’a d’ailleurs été publiée quant à ses conséquences psychologiques, sociales ou politiques, note Wessely) va exacerber les désordres psychiatriques et augmenter les risques de maladies sociales de masse, selon Wessely.

« L’incertitude, la frustration et d’autres facteurs engendrés par ces menaces terroristes, ont besoin d’être pris en charge par les pouvoirs publics », préconise-t-il.

Source : BMJ2001 ;323 :878-9.


A suivre...