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L'ARMEE AMERICAINE PROJETAIT DES
ACTES DE TERRORISME INTERIEUR DANS L' INTENTION DE PROVOQUER UNE GUERRE
AVEC CUBA
par David Ruppe Au début des années 60, les gros galons de l'armée américaine avaient concocté des plans secrets en vue de terroriser les villes américaines, de tuer des civils dans les rues des Etats-Unis, et même de faire sauter un navire américain afin de gagner du soutien pour une invasion de Cuba, rapporte un nouvel ouvrage. Les autorités civiles, par bonheur, allaient rejeter ces projets. Portant le nom de code Operation Northwoods (Forêts nordiques), ces plans, paraît-il, prévoyaient éventuellement d'assassiner des immigrés cubains, d'envoyer par le fond, en haute mer, des navires transportaient des réfugiés cubains, de détourner des avions, de faire sauter un navire de la Navy et même d'orchestrer des actes de terrorisme sauvage dans certaines villes des Etats-Unis. Ces plans furent échafaudés de façon à abuser le public américain et la communauté internationale et à gagner ainsi du soutien pour une guerre censée éliminer le nouveau dirigeant de Cuba, le communiste Fidel Castro. Les hautes instances de l'armée américaine envisagèrent
même de provoquer des pertes dans l'armée américain.
Certains de leurs écrits mentionnent en effet : « Nous
pourrions faire sauter un navire américain dans la baie de Guantanamo
et en rejeter la faute sur Cuba » et « Publier des listes
de pertes en vies humaines dans la presse américaine déclencherait
une vague salutaire d'indignation nationale. » Par contre, ils bénéficiaient de l'approbation écrite de tous les chefs de l'Etat-Major général et, en mars 1962, ils furent présentés au secrétaire à la Défense du président Kennedy, Robert McNamara. Apparemment, toutefois, ils furent rejetés par les autorités civiles et allaient rester secrets durant quasiment 40 ans. « Il s'agissait de documents de l'Etat-Major général. La raison pour laquelle on les a tenus secrets si longtemps, c'est que les chefs de l' Etat-Major n'ont jamais voulu les céder : ils étaient tellement embarrassants », devait déclarer Bamford sur ABCNEWS.com. « Tout le problème de la démocratie, c'est de disposer de dirigeants répondant à la volonté publique et, dans le cas présent, c'est tout à fait l 'inverse, les militaires essaient de tromper le public américain et lui faire accepter une guerre qu'eux désirent mais dont personne d'autre ne veut. » |
27 /08/2001 USA: ce qui vaut pour Milosevic ne vaut pas pour nous Les députés des Etats-Unis sapprêtent à voter une proposition de loi dont le but est dempêcher tout soldat américain en mission à létranger dêtre traduit devant la future Cour Pénale Internationale. Autrement dit: les Etats-Unis ont forcé la Yougoslavie à livrer Milosevic au Tribunal Pénal International, pour y être jugé pour «crimes de guerre», mais si jamais un soldat américain se rendait coupable dun massacre de civils nimporte où dans le monde (noublions pas ceux du Vietnam, par exemple), pas question de le juger devant une cour internationale! Les députés américains vont plus loin encore: si cette loi nétait pas acceptée par les autres pays, ils menacent de ne pas verser les 2 milliards de dollars (près de 100 milliards de francs) de dettes que les Etats-Unis ont envers lOnu. Source: Marianne, n°227, 27 août 2001, www.marianne-en-ligne.fr Marianne |
24 /10/2001 L'anthrax provient des Etats-Unis Le 24 octobre, The New Scientist, probablement le plus grand site scientifique du net, a publié des données remarquables sur la bactérie de l'anthrax, qui provoque une véritable psychose aux Etats-Unis. Cette bactérie existe sous de multiples variantes. Celle retrouvée dans les lettres contaminées aux Etats-Unis appartient au groupe «Ames». L'origine de cette bactérie se trouve dans un congélateur du Centre britannique de microbiologie appliquée de Porton Down. Ce centre avait reçu la bactérie de l'US Army Medical Research Institute for Infectious Diseases, au milieu des années 80. Selon les scientifiques, l'anthrax utilisé provient de l'armée américaine elle-même. (www.newscientist.com) The New Scientist |
25 /10/2001 Les victimes américaines d'abord La terreur provoquée par les attentats biologiques a radicalement modifié l'attitude des autorités américaines. Ainsi, Washington a obligé la multinationale allemande Bayer à vendre son antibiotique Cipro (ciprofloxacine), pour soigner les victimes de l'anthrax, à un tarif réduit. Les Etats-Unis ont menacé Bayer de lui retirer son brevet, permettant ainsi le développent d'un médicament générique (une sorte de produit blanc, moins cher). Bayer a fini par céder. Les Etats-Unis font ainsi exactement ce qu'ils interdisent à l'Afrique du Sud et au Brésil. Depuis des années, ces pays supplient de pouvoir importer des variantes moins coûteuses des médicaments contre le sida. Mais les multinationales pharmaceutiques américaines refusent parce que cela entraînerait une baisse de leurs bénéfices. Entre-temps, de plus en plus de malades du sida meurent chaque jour. (AFP, 25 octobre) AFP |
Laser Airborn KIRTLAND AIR FORCE BASE, N.M. (AFPN) -- Les officiels du laser 'airborne' ont annoncé ce 9 août (ndle: 1999) qu'ils avaient reçu la livraison de la plus grande fenêtre en forme de coupole de qualité optique jamais fabriquée. C'est une étape importante dans la production d'une fenêtre de tourelle pour le laser 'airborne', un avion qui utilisera un laser pour détruire des missiles dans un rayon de plusieurs centaines de milles. La fenêtre de forme 'conformal' pesant 340 livres, produite par Heraeus Quarzglas, de Hanau en Allemagne, et par Heraeus Amersil de Duluth, a été mise en forme par Corning Inc. de Canton, New-York, mesures presque 60 pieds de diamètre et est constituté de matériaux spéciaux afin de répondre aux besoins exigeants du faiseau de transmission par laser à haute énergie inclus dans le programme du laser 'airborne'. |
Trou noir... 16/11/1999 - Il serait possible et même facile de créer un trou noir en laboratoire. Cest du moins ce quaffirme un chercheur dArabie saoudite, Murat Ozer de lUniversité du roi Saoud, qui sest livré à des calculs théoriques sur le sujet. Il sagirait toutefois dun trou noir dun type un peu particulier, qui ne capturerait que les électrons et laisserait passer le reste de la matière. Le chercheur admet malgré tout que son existence pourrait menacer la survie de notre planète. |
Ovni en Sibérie Selon un rapport de lagence Interfax, diffusé sur sur le télétexte de France 2 ce samedi 27 janvier 2001: Un aéroport de la Sibérie méridionale a dû fermer son trafic pendant une heure et demie, vendredi 26 janvier, en raison de la présence dun OVNI. Léquipage dun Ilioutchine 76 a refusé de de décoller en raison dun objet lumineux qui sétait positionné au-dessus de la piste de décollage de laéroport de Barnaoul. Les pilotes dun autre avion cargo ont également refusé, pour la même raison, de se poser à Barnaoul. Lovni a disparu au bout dune heure et demie. Cependant, ce qui est étrange cest que cette information a eté effacée du télétexte de France2 vers les 20 heures, ce même samedi. Sil sagit d un canular, pourquoi ne pas en avoir informé le le télespectateur avant leffacement ? Nous avons aussitôt téléphoné à France2 qui a répondu que les bureaux étaient fermés, quil ny avait plus personne. Note : Barnaoul est situé à environ 175 kms au sud de Novosibirsk. |
Quatre foyers géographiques sont concernés: le plus important est au Sénat à Washington (30 personnes contaminées). Le bacille a également été retrouvé à New York (quatre malades), Boca Raton (Floride, un mort, un malade et un cas de contamination), et Hamilton (New Jersey, une personne malade). Le coordinateur de la lutte antiterroriste aux Etats-Unis, Tom Ridge, a précisé vendredi que 14.000 tests avaient été faits ces derniers jours dans la seule ville de Washington. M. Ridge n'a pas mentionné cinq personnes qui ont développé en Floride des anticorps au bacille, ni trois personnes (deux policiers et un employé de laboratoire) dont le maire de New York Rudolph Giuliani avait indiqué le 14 octobre qu'ils avaient été contaminés sans être malades.
- 17 octobre : 30 personnes ont été contaminées au Sénat, annonce le ministre de la Santé Tommy Thompson, revoyant à la baisse un précédent bilan de 31 personnes contaminées. Le 15 octobre, une lettre adressée à M. Daschle et contenant le bacille de la maladie du charbon avait été ouverte dans ses bureaux. - 19 octobre : Tom Ridge précise que quelque 14.000 personnes ont été testées à Washington.
- 12 octobre: Erin O'Connor, 38 ans, malade. Assistante du journaliste vedette de la chaîne de télévision NBC, Tom Brokaw, elle a développé une forme cutanée de la maladie, après avoir ouvert une lettre envoyée le 18 septembre. - 15 octobre: un bébé de sept mois, malade. Sa mère, réalisatrice à la chaîne de télévision ABC s'était rendue au bureau avec lui le 28 septembre. Il a développé une forme cutanée de la maladie, dont l'origine reste inconnue. - 18 octobre : une assistante de Dan Rather, journaliste vedette de la chaîne de télévision CBS, malade : elle avait constaté le 1er octobre que son visage était enflé. Elle a développé la forme cutanée de la maladie, ne se souvient pas d'avoir ouvert une lettre suspecte. - 19 octobre : une employée du New York Post a contracté la forme cutanée de la maladie, annonce le tabloïd New York Post.
- 18 octobre : une postière a contracté la forme cutanée de la maladie du charbon, annonce le gouverneur intérimaire du New Jersey Donald DiFrancesco.
- 5 octobre: décès de Robert Stevens, 63 ans. Editeur photo pour le tabloïd Sun, il meurt d'une forme respiratoire de la maladie, après avoir apparemment manipulé une lettre reçue aux environs du 19 septembre et brûlée depuis. Stevens avait été hospitalisé le 2 octobre. - 7 octobre: Ernesto Blanco, 73 ans, malade. D'abord hospitalisé pour pneumonie, jusqu'à ce que les autorités annoncent le 15 octobre qu'il a développé la forme respiratoire de la maladie. M. Blanco travaillait au service du courrier du Sun. - 10 octobre: Stephanie Dailey, 36 ans, "porteur sain", travaillait
également au service courrier du Sun. |
Deux avions s'écrasent sur les tours du World Trade Center à New York mardi 11 septembre 2001, 15h31
Le FBI enquête sur la possibilité que la catastrophe sur les deux tours résulte d'un acte criminel et d'un détournement d'avion, a appris l'Associated Press. La première catastrophe s'est produite un peu avant 9h et la deuxième quelques minutes plus tard. A Sarasota, en Floride, le président Bush se trouvait dans une
classe avec des enfants à 9h05 quand le secrétaire général
de la Maison-Blanche, Andrew Card, lui a appris la nouvelle. Le président
a pris un air sombre avant de reprendre sa lecture. Interrogé
sur ce qu'il savait de cette catastrophe, le président a répondu:
''J'en parlerai plus tard''. Un avion s'écrase près
du Pentagone Paul Begala, un consultant démocrate, a ajouté qu'il avait vu une explosion près du Pentagone peu de temps après que deux avions se soient écrasés sur le World Trade Center. Paul Begala a ajouté qu'un autre témoin lui avait dit
qu'un hélicoptère avait explosé. AP
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Mardi 11 septembre 2001, 18h34
Moins d'une heure après un attentat contre les deux tours du World Trade Center à New York, le Pentagone, un énorme complexe immobilier où siège le ministère américain de la Défense, a été secoué par deux explosions vers 13H20 GMT, apparemment provoquées par un avion de ligne qui est venu s'écraser contre le bâtiment, selon des témoins. L'incident a fait au moins sept blessés, selon un responsable du Pentagone. Une immense colonne de fumée noire sortait toujours du bâtiment, dont une partie s'est effondrée, aux environs de 16h00 GMT. Le Pentagone, centre névralgique de la défense américaine, abrite quelque 24.000 employés. "J'ai vu ce gros avion d'American Airlines arriver rapidement et à basse altitude", a déclaré un témoin de la scène, le capitaine Lincoln Liebner. Il a précisé que l'appareil avait heurté un hélicoptère sur l'héliport du Pentagone. Tous les bâtiments officiels, la Maison Blanche, le département d'Etat, le département du Trésor, ainsi que le Congrès américain ont été évacués dans la crainte de nouvelles attaques. Selon un responsable du FBI interrogé par l'AFP, un autre avion détourné se dirigeait également mardi matin vers le Pentagone près de Washington, mais à 16h00 GMT, aucun autre appareil n'avait été repéré près de la capitale. Par ailleurs, la chaîne de télévision ABC a rapporté qu'une voiture piégée avait explosé au département d'Etat mardi matin, mais cette information n'a pas été confirmée. Peu auparavant, un journaliste de l'AFP quittant le département d'Etat avait entendu deux explosions sans pouvoir en identifier l'origine. Celles-ci provenaient peut-être du Pentagone, situé à proximité de la capitale, et non loin du département d'Etat. Dans d'autres parties de la capitale, d'importants nuages de fumée étaient également visibles au-dessus d'un important bâtiment administratif près de la Maison Blanche, l'Old Executive Building. En revanche, un porte-parole de la police locale de Washington a démenti des informations contradictoires qui avaient fait état d'une explosion entendue dans le secteur du Capitole, où siège le Congrès. "Il n'y a pas eu d'explosion", a déclaré ce porte-parole de la police. Le président américain George W. Bush, ainsi que son secrétaire d'Etat Colin Powell, ne se trouvaient pas à Washington au moment des événements, le premier se trouvant en Floride tandis que le second était en voyage officiel au Pérou. A Sarasota, en Floride, le président américain, qui s'est exprimé peu après les attentats à New York, a cependant annoncé qu'il rentrait précipitamment à la Maison Blanche. "Aujourd'hui nous avons eu une tragédie nationale lors de ce qui est apparemment une attaque terroriste contre notre pays", a-t-il déclaré en promettant de "pourchasser et de trouver" les auteurs de l'attaque. Par ailleurs, l'aéroport international de Dulles, près de Washington, a été fermé sur ordre des autorités, tandis que l'organisme fédéral de l'aviation civile (FAA) a ordonné l'annulation de tous les vols commerciaux aux Etats-Unis, une mesure sans précédent. Les nouvelles des attentats à New York, puis à Washington, ont semé la panique chez les habitants et employés de la capitale. Selon des témoins, à peine quelques heures après cette série d'attentats sans précédent, les rues continuaient de se vider. mardi 11 septembre 2001, 20h26 Le film d'une journée catastrophe
à New York et Washington --par Jerry Schwartz-- Pour Peter Dicerbo et 44 collègues de la First Union National Bank, c'était le début de la journée de travail au 47e étage de la tour. Soudain, ''j'ai senti le bâtiment trembler. Je suis tombé au sol. Il y a eu un terrible fracas et le bâtiment a commencé à bouger, c'est ce qui m'a vraiment fait peur''. Au rez-de-chaussée, Harriet Grimm, a entendu un grand boum ''et nous avons vu un tas de débris tomber''. Environ 18 minutes plus tard, Luigi Ribaudo, qui travaille près du WTC, a entendu un avion faisant selon lui un bruit étrange. Il a regardé en l'air et a vu l'appareil volant ''trop bas''. ''Il a allait percuter quelque chose et il s'est encastré dans (la deuxième tour) et a explosé à l'intérieur''. L'appareil était un Boeing 757 d'American Airlines reliant Washington à Los Angeles. Les attentats ont immédiatement donné lieu à des scènes de chaos. M. Dicerbo et ses collègues ont descendu 47 étages par les escaliers. Il est sorti du bâtiment les vêtements déchirés. Les employés du WTC étaient hébétés et sous le choc. ''A peine suis-je sorti du bâtiment que la deuxième tour a explosé'', a déclaré Jennifer Brickhouse, 34 ans. ''Des débris ont commencé à tomber et la fumée à se propager. Les gens criaient, tombaient et sautaient des fenêtres'', depuis des étages élevés. Les véhicules de secours ont afflué vers la pointe de Manhattan, où se trouvent les deux tours. Vers 9h30, un appareil s'écrase sur le Pentagone à Washington, provoquant un incendie dans le centre névralgique de l'armée américaine. Une partie du bâtiment s'effondre, envoyant des nuages de fumée sur la capitale fédérale. A 9h50, une heure après le premier crash, une des tours du WTC s'effondre. Il y a eu un bruit étrange d'aspiration, puis celui des étages s'effondrant, et un énorme déplacement d'air suivi par un vaste nuage de fumée, de poussières et d'autres débris. Vers 10h, le vol UA93 de la United Airlines reliant Newark à San Francisco s'écrase à 130km au sud-est de Pittsburgh. Le Boeing 757 avait décollé à 8h01 avec à son bord 38 passagers, deux pilotes et cinq personnels de bord. Les bâtiments du pouvoir fédéral commencent à être évacués dans tout le pays, notamment le Capitole et la Maison Blanche. L'Administration de l'aviation civile (FAA) suspend tous les vols dans la pays. Les Nations unies ferment leurs portes. A New York, les tunnels et les ponts sont fermés. A exactement 10h30, la seconde tour jumelle s'effondre à son tour après l'explosion du sommet du bâtiment dans un nuage de fumée et de poussières. Des personnes fuyant en courant le bâtiment pour se mettre à l'abri sont projetées au sol. Une nouvelle chape de fumée et de poussières recouvre la zone. A 12h, United Airlines annonce le crash d'un autre de ses avions dans
un endroit non précisé. Il s'agit d'un Boeing 767 transportant
56 passagers, deux pilotes et sept personnels de bord. Le vol UA 175
avait quitté Boston à 7h58 à destination de Los
Angeles Les Etats-Unis victimes de la plus grande offensive terroriste jamais lancée
Le président George W. Bush a évoqué une "tragédie nationale" lors d'une "attaque terroriste apparente" et promis de "pourchasser et punir" ses auteurs. Les forces armées américaines sont en "état d'alerte maximale", a déclaré le président, qui se trouvait en Louisiane (sud). Aucun bilan officiel n'avait été donné à 19H00 GMT, mais les morts pourraient se compter par milliers, vu l'heure et le lieu des attaques. Un porte-parole de la police de New York a indiqué à l'AFP qu'il était encore trop tôt pour un bilan. Toute la journée, les Américains ont suivi en direct le film tragique d'une série d'attentats qui ont jeté la panique dans les rues de New York et à Washington. Deux avions de ligne apparemment détournés ont d'abord percuté à quelques minutes d'intervalle, aux environs de 9H00 locales, les deux tours géantes du World Trade Center à New York, réduites en cendres une heure plus tard. Quelque 40.000 personnes travaillaient quotidiennement au World Trade Center. Deux autres appareils se sont ensuite écrasés, l'un en Pennsylvanie et l'autre à Washington sur le Pentagone, énorme complexe immobilier où siège le ministère américain de la Défense, faisant un nombre indéterminé de victimes. Le Pentagone a été évacué, ainsi que la Maison Blanche, le département d'Etat (ministère des Affaires étrangères) et le département du Trésor. Le maire de Washington Anthony Williams a décrété l'état d'urgence dans la capitale fédérale pour une période indéterminée. Aucune revendication n'avait été enregistrée à 19H00 GMT pour ces attentats qui ont semé la consternation à travers le monde. Le président palestinien Yasser Arafat les a fermement condamnés, à l'instar des principaux alliés de Washington, notamment Israël et l'Union européenne, et du président russe Vladimir Poutine. L'explosion et l'effondrement des célèbres tours jumelles a fait un nombre "terrible" de victimes, a annoncé le maire, Rudolph Giuliani, qui a demandé aux habitants de quitter le sud de Manhattan. Dans les rues, des piétons recouverts de poussière couraient dans tous les sens, des voitures de police passaient en trombe toutes sirènes hurlantes et des témoins en pleurs, hagards ou en prière, s'effondraient sur les trottoirs. "J'ai entendu un grondement énorme au-dessus de ma tête. Un avion commercial est rentré droit dedans", a témoigné Mark Obenhau, qui se rendait à sa station de métro à proximité des tours jumelles lors du premier impact. Un employé travaillant au premier étage d'une des tours a raconté : "au moins 14 personnes ont sauté par les fenêtres". La compagnie American Airlines a annoncé la perte de deux avions de ligne transportant au total 156 personnes, mais n'a pas indiqué s'il s'agissait des appareils ayant percuté le World Trade Center. United Airlines a également annoncé la perte de deux avions, transportant au total 110 personnes, dont celui qui s'est écrasé en Pennsylvanie. Même si les attentats n'ont touché que la côte est, le gouverneur de Californie Gray Davis a ordonné la fermeture de tous les bâtiments du gouvernement dans son Etat. A San Francisco, le maire a également ordonné la fermeture des principaux monuments et bâtiments. Les écoles ont été fermées. Les parcs d'attractions de Disneyland (Californie) et de Walt Disney World (Floride), ont aussi fermé leurs portes, de même que les studios de cinéma Universal à Los Angeles. Les alliés des Etats-Unis à travers le monde, l'OTAN, l'Union européenne, les chefs d'Etat ou de gouvernement de plusieurs pays européens, le gouvernement israélien, le président palestinien Yasser Arafat et le président russe Vladimir Poutine, ont adressé des messages de sympathie aux autorités américaines. En revanche à Gaza, un haut responsable du Jihad a vu dans les attentats la conséquence de "la politique américaine dans la région la plus chaude du monde (NDLR : le Proche-Orient)". Des dizaines de réfugiés palestiniens ont également manifesté leur joie à l'annonce de ces attaques en tirant en l'air. Le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), basé à Damas, a affirmé n'avoir aucun lien avec ces attaques. Le régime taliban au pouvoir en Afghanistan, où vit Oussama ben Laden, a également démenti tout rôle du milliardaire d'origine saoudienne, recherché par la justice américaine pour les attentats anti-américains de Nairobi et Dar es-Salaam, qui ont fait 224 morts et des milliers de blessés en 1998. Les attentats de New York et Washington pourraient porter "la signature d'Oussama ben Laden", a cependant déclaré le sénateur américain Orrin Hatch (républicain). La vague d'attaques terroristes a également provoqué un séisme sur les marchés financiers, en chute libre en Europe et à Sao Paulo, tandis que les cours du brut grimpaient en flèche, tout comme ceux de l'or. Avec l'annulation de tous les vols commerciaux et la fermeture des bourses américaines, une grande partie de l'activité économique des Etats-Unis tournait au ralenti mardi.
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Les élections américaines
: le voile de la conspiration commence à être levé De nouvelles informations publiées dans la presse éclaircissent davantage les événements extraordinaires de la nuit de l'élection présidentielle des 7 et 8 novembre derniers aux États-Unis. Ces informations laissent entrevoir une tentative éhontée de l'organisation de la campagne républicaine de George W. Bush de tromper les chaînes de télévision et de s'emparer de la présidence par la ruse. Tant le Washington Post que le New York Times ont rapporté succinctement que l'employé de la chaîne Fox qui avait annoncé tard dans la nuit de mercredi que Bush l'avait emporté en Floride et par conséquent la présidence n'est nul autre que le cousin germain de George W. Bush et de son frère Jeb qui est quant à lui gouverneur de la Floride. L'homme en question, John Ellis, dirigeait le centre de reportage des décisions électorales de la chaîne Fox. Selon l'article « Bad Call in Florida » (Mauvaise prédiction en Floride) rédigé par Richard Morin, directeur des sondages au Washington Post, c'est de son propre chef qu'Ellis a déclaré son cousin vainqueur sans que la moindre nouvelle en ce sens ne lui ait été communiquée par le Voter News Service (VNS), le consortium organisé par les chaînes télévisées qui fait des projections pour tous les États à partir de sondages des votants à la sortie des bureaux de scrutin. Suite à cette déclaration sur Fox, les chaînes CNN, ABC, NBC, et CBS ont emboîté le pas en publiant des résultats semblables, ce qui a emmené le candidat démocrate Al Gore a annoncé peu après par téléphone à George W. Bush qu'il lui concédait la victoire. Ce qui paraît être un complot entre Bush et son cousin à Fox a presque réussi. Gore était sur le point de concéder publiquement sa défaite lorsqu'il a reçu un coup de téléphone d'officiels démocrates en Floride l'informant que l'avantage de Bush en Floride était beaucoup moins important que ce que les médias avaient annoncé et qu'il diminuait rapidement. Gore a donc retéléphoné à Bush pour lui annoncer qu'il avait changé d'avis. Morin écrit : « VNS n'a jamais annoncé que Bush l'emportait en Floride. Fox News fut la première chaîne à annoncer une victoire des républicains dans cet État alors qu'ils parti ne détenaient qu'un avantage seulement dans les votes comptés. Fox a annoncé la victoire de Bush à 2 h 16. Ironiquement, la décision d'annoncer la victoire de Bush est de John Ellis, chef du bureau de couverture des élections à Fox et également cousin de Bush ». À 3 h dans la nuit de mercredi, toutes les chaînes avaient retiré leurs prédictions d'une victoire de Bush en Floride et déclaré que l'on ne pouvait prédire les résultats de l'élection. Le remarque ironique de Morin prouve que les rapports de parenté entre Ellis et le candidat républicain étaient connues des médias. Mais jusqu'ici personne n'en avait informé le public. Un article à la une du New York Times du 13 novembre présentait Ellis comme un partisan de Bush qui entretenait des contacts intimes avec les membres de la campagne républicaine. L'article du correspondant politique Richard L. Berke cite longuement Ellis sur la stratégie préélectorale adoptée par les républicains et les discussions au sein du parti après les élections, soulignant même qu'Ellis « était fréquemment en contact avec M. Bush ». Pourtant ni le Washington Post ni le New York Times ne s'inquiètent de ces relations politiquement incestueuses entre l'équipe Bush et le journaliste de Fox qui a joué le rôle principal dans cette tentative de faire basculer les résultats des élections pour les républicains. Leur réaction devant ce fait sinistre souligne l'importance des relations corrompues entretenues entre la presse et l'aile droite des républicains. La révélation du rôle joué par Ellis met en relief la chaîne étonnante des événements survenus entre mardi soir et mercredi matin. Elle met l'accent sur un aspect des élections américaines habituellement dissimulé au public : la collusion entre les médias et les forces politiques de droite favorisée par les conglomérats qui contrôlent les nouvelles. Comme les agents politiques des deux partis le savent bien, les médias sont loin de jouer un rôle passif dans le processus électoral américain, et leurs prédictions la nuit de l'élection peuvent avoir un impact décisif sur le déroulement et même le résultat final d'une élection chaudement disputée. Lorsque les médias sur la base des rapports du VNS ont déclaré que Gore l'avait remporté en Floride à 19h50 mardi soir, le clan Bush savait que ses chances de gagner avaient presque disparues. Bush et ses principaux conseillers ont alors quitté leurs suites d'hôtel pour se rendre à la maison du gouverneur d'où ils ont lancé une tentative désespérée pour faire changer les prédictions ayant trait aux résultats de la Floride. Maintenant que l'on sait que des dizaines de milliers de bulletin de votes mal conçus et destinés à Gore ont été rejetés ou accordés au candidat d'extrême-droite Patrick Buchanan, il apparaît clairement que la prédiction initiale d'une victoire démocrate en Floride basée sur les sondages des électeurs reflétait bien les sentiments de l'électorat. Bush a pris la décision sans précédent de faire entrer les journalistes à la maison du gouverneur pour fustiger leurs prédictions à propos des résultats en Pennsylvanie et en Floride et prédire qu'il allait finalement gagner la Floride. Cette conférence de presse impromptue allait à l'encontre de toute tradition électorale qui veut que les candidats restent silencieux avant de déclarer leur victoire ou de reconnaître leur défaite. Quelques minutes seulement après l'intervention de Bush, les médias changeaient soudainement d'avis. Ils retiraient les votes accordés à Gore au collège électoral de la Floride en déclarant ces résultats contestés. Hormis de vagues mentions à propos de « données erronées », les chefs d'antenne n'ont offert aucune explication pour ce revirement de situation. Dès les premières heures dans la nuit de mercredi, il était clair que le résultat national dépendrait des résultats en Floride. C'est à ce moment que la chaîne Fox appartenant à l'ultraconservateur Rupert Murdoch faisait l'annonce extraordinaire de la victoire de Bush en Floride et à la présidence. La convergence de ces trois facteurs les étranges changements de cap des médias, le contrôle du gouvernement de la Floride par le frère de Bush, et le rôle de son cousin à Fox est suffisante pour commander la tenue d'une enquête détaillée sur les machinations survenues entre l'équipe de la campagne Bush et les médias. À la lumière des événements politiques récents et plus particulièrement du complot républicain pour déposer un président réélu au moyen d'un coup pseudoconstitutionnel une conspiration criminelle visant à voler l'élection en faisant appel à des décomptes frauduleux de bulletins et à la manipulation des résultats apparaît lentement. Toutes les démarches entreprises par l'équipe de la campagne Bush depuis l'élection vont dans le sens de cette interprétation. Depuis leur tentative controversée d'imposer précipitamment leur victoire à l'opinion publique en annonçant la création d'une équipe présidentielle de transition, en passant par leurs efforts pour bloquer tout décompte exact des votes en Floride, les membres du camp Bush ont démontré qu'ils étaient prêts à voler les élections sans respecter la décision des électeurs. Quelle était la nature des propos tenus par les officiels de la campagne Bush à CNN, ABC, CBS, NBC et Fox pour qu'ils puissent les convaincre de changer d'avis sur les résultats électoraux en Floride ? Que savent exactement George W. Bush et son frère Jeb des irrégularités électorales et de l'intimidation des électeurs qui sont survenues en Floride ? Comment pouvaient-ils être aussi certains que la Floride leur reviendrait ? Quelles discussions ont eu lieu entre le personnel de la campagne présidentielle de Bush et John Ellis de la chaîne Fox ? Les responsables de la campagne Bush et des médias doivent répondre à ces questions comme à une foule d'autres. Les événements de la semaine dernière démontrent que si Bush entre à la Maison Blanche, l'extrême-droite républicaine n'hésitera pas à utiliser son contrôle du pouvoir étatique pour piétiner les droits démocratiques et lancer des assauts sans précédent sur la classe ouvrière. Les travailleurs doivent s'interroger : si l'entourage de Bush accepte d'utiliser des méthodes criminelles pour arriver au pouvoir, quelles méthodes sont-ils prêts à utiliser pour défendre leur pouvoir contre les manifestations et la résistance de la base ?
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Une nouvelle planète au-delà
de Pluton Grande-Bretagne 07/10/1999 - Notre système solaire compte une dixième planète, mille fois plus éloignée du Soleil que Pluton. Cest du moins ce quaffirme un astronome britannique, John Murray, dans un article qui sera publié la semaine prochaine dans le bulletin mensuel de la Royal Astronomical Society. Cette nouvelle planète na pas encore été observée directement, mais on a déduit son existence de certaines anomalies dans lorbite de comètes. En étudiant en détail la trajectoire de 13 comètes, John Murray postule lexistence dune planète située à 32 000 unités astronomiques (la distance Terre-Soleil), soit une demie année-lumière. Pluton, par comparaison, nest quà 29 unités astronomiques du Soleil. Il sagirait dune planète géante, plusieurs fois plus grosse que Jupiter, qui compléterait une orbite du Soleil en six millions dannées environ, contre 248 ans pour Pluton. Cette mystérieuse planète tournerait en sens inverse des autres, ce qui donne à penser quil sagit dune planète errante capturée il y a longtemps par lattraction du Soleil. John Murray doit prononcer la semaine prochaine une conférence en Italie où il donnera plus de détails sur sa théorie. Il estime pour linstant quil ny a quune chance sur 1 700 pour que les anomalies de lorbite des comètes soient le fruit du hasard. John Matese, de lUniversité de la Louisiane à Lafayette, affirme lui aussi découvert une nouvelle planète par des moyens semblables. Ses travaux seront publiés prochainement dans la revue Icarus.
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BBC et Révélations Une étrange projection s'est déroulée au sénat
dans le courant du deuxième trimestre 2001 à l'attention
en priorité des sénateurs et autres personnes qui y ont
été conviées. Etrange, pour une institution de
la République, car cela concernait le sujet des OVNIS, appelés
aussi des soucoupes volantes. Toujours est-il que les sénateurs
présents à cette projection sont sortis perplexes, s'abstenant
de tout commentaire sur ce sujet épineux, et préférant
louvoyer poliment ou changer de sujet. Ce qui est encore plus étrange,
c'est que la presse française n'en n'a pas soufflé le
moindre mot. Ce reportage m'avait-on dit devait être rediffusé
paraît-il sur France 2, mais en réalité cela n'a
pas été fait, raison pour laquelle je décide de
vendre la mèche sur ce site Internet. Il y a vraiment beaucoup
d'informations qui sortent de l'ordinaire et qui passent à la
trappe en France, et on ne sait pour quelle étrange raison. L'autres
fois c'était la perte de contrôle des 4 satellites russes,
ce n'est pourtant pas une broutille, mais les grands médias s'évertuent
à ne pas faire leur travail. |
vendredi 19 octobre 2001, 18h07
"Je n'ai pas pensé une seconde que ça pouvait être de l'art", a expliqué Emmanuel Asare, le préposé à l'entretien de la galerie Eyestorm. L'oeuvre avait été réalisée à partir de bouteilles vides, de cendriers pleins de mégots, de tasses à café sales et autres vieux journaux disposés de façon aléatoire dans un coin de la galerie. Damien Hirst, bien que lauréat du très célèbre prix Turner en 1995, ne s'est en rien offusqué de l'erreur de l'agent de nettoyage, qu'il aurait même trouvée "très amusante" selon la presse britannique. Nombreux sont en effet les profanes qui se seraient laissés prendre. L'oeuvre d'art, que l'agent d'entretien avait malencontreusement prise pour les restes d'une soirée bien arrosée, avait été créée la veille ... à partir des rebuts de la soirée de vernissage de la nouvelle exposition. L'installation avait été imaginée par Damien Hirst lors du vernissage mardi soir et devait représenter un atelier d'artiste en désordre. C'est le lendemain qu'Emmanuel Asare avait découvert la nouvelle oeuvre. "Quand j'ai vu le bazar qu'il y avait je n'ai pas pu me retenir de soupirer", a-t-il expliqué, avant d'ajouter: "Pour moi, ça ne ressemble pas vraiment à de l'art, c'est pour ça que j'ai tout mis dans un sac poubelle et que je l'ai jeté". L'erreur a été réparée en replaçant les objets récupérés de la poubelle conformément à leur disposition, en se référant à des photos prises lors du vernissage. Damien Hirst, 35 ans, est une des figures les plus connues de l'art contemporain britannique. Il fait parti du groupe connu sous le nom de Young British Artists (Jeunes Artistes Britanniques). Il s'était fait remarquer au début de sa carrière avec des oeuvres comme "L'impossibilité physique de la mort dans l'esprit d'une personne vivante", constituée d'un requin placé dans une immense boîte. Le grand public l'avait, lui, découvert en 1994 quand une de ses oeuvres - un veau placé dans une boîte transparente remplie de formol - avait été saccagée lors d'une exposition à Londres. Ses oeuvres se vendent habituellement pour plus de 40.000 livres (64.000 EUR). |
L'espace, seul espoir de survie de
l'humanité selon Hawking LONDRES (Reuters) - L'humanité risque de disparaître d'ici la fin du millénaire, balayée par un virus implacable, sauf si l'homme se décide à coloniser l'espace, affirme le scientifique britannique Stephen Hawking.
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Il tue sa femme au marteau pour un
mauvais café, lundi 15 octobre 2001 ROME (Reuters) - Coupable de lui avoir servi un mauvais café, un Italien âgé de 84 ans a tué sa femme à coup de marteau. "Le café était infect, alors j'ai jeté la tasse par terre. Ma femme a hurlé et je l'ai giflée. Ensuite, je me suis emparé d'un marteau pour la frapper", a raconté aux magistrats l'époux irascible. Selon l'agence de presse Ansa, c'est un voisin qui a découvert le corps de la malheureuse et alerté la police de Bari, dans les Pouilles. Le coupable a fini par avouer son crime. |
Quand le portable s'installe, les
fantômes détalent LONDRES (Reuters) - Les téléphones mobiles éliminent les fantômes, affirme dimanche un spécialiste britannique de l'occultisme. Les témoignages d'apparitions de fantômes ont commencé à diminuer lors de l'introduction des premiers portables il y a une quinzaine d'années, a déclaré Tony Cornell, de la Société de recherche en parapsychologie, à l'hebdomadaire Sunday Express. "Les apparitions de fantômes sont restées constantes pendant des siècles. Il y a trois ans, nous recevions encore deux nouveaux signalements de fantômes par semaine", a-t-il expliqué. "Mais avec l'introduction des téléphones mobiles il y a 15 ans, ces témoignages ont commencé à diminuer, à tel point que nous n'en recevons plus du tout". Les phénomènes paranormaux, que certains spécialistes attribuent à une activité électrique particulière, seraient perturbés par les émissions des combinés mobiles. Les sites "hantés" qui attirent de nombreux touristes
en Grande-Bretagne, pourraient même être menacés
si les portables continuent à se multiplier, écrit le
Sunday Express. |
Le magicien Copperfield aurait pu
gagner au loto allemand, 15 octobre 2001 BERLIN (Reuters) - L'illusionniste américain David Copperfield, qui avait prédit il y sept mois les numéros gagnants de la loterie nationale allemande sortis samedi dernier, a déclaré dimanche avoir été assailli de demandes de joueurs voulant les obtenir avant le tirage. Le 17 février dernier, Copperfield avait mis noir sur blanc la combinaison gagnante du gros lot de plusieurs millions de marks prévu samedi 13 octobre. Les 7 chiffres ont été déposés sous scellés chez un notaire et enfermés dans un coffre soigneusement gardé. Une heure après la sortie des numéros gagnants, le coffre a été ouvert en direct à la télévision et les nombres choisis par le magicien ont été révélés. "Ce n'est pas un tour", a déclaré Copperfield au quotidien Bild am Sonntag. "Il s'agissait plus d'un exercice mental et expérimental. Nous utilisons seulement 10% des capacités de notre cerveau." Copperfield a précisé qu'il ne participait pas aux loteries parce qu'il les trouve ennuyeuses. "Je ne suis pas un parieur", a-t-il affirmé. Le magicien a déclaré que des centaines de personnes
s'étaient adressées à lui depuis février
pour connaître les bons numéros. |
lundi 15 octobre 2001, 11h55 Terre et Lune, mêmes matériaux Les scientifiques de l'École polytechnique fédérale de Zurich ont été surpris de constater que les deux planètes sont constituées de matériaux identiques alors qu'elles sont si différentes. Sur la Lune, il n'y a ni champ magnétique, ni atmosphère. Il n'y a pas la couche d'air pour servir de filtre. L'absence d'atmosphère fait que le passage du soleil à l'ombre fait chuter brutalement la température de plus de 100 degrés Celsius à moins 100 degrés. L'étude des roches lunaires confirme la théorie de l'impact géant. Théorie selon laquelle une forme primitive de la Terre a heurté une planète trois fois supérieure à la taille de Mars, il y a entre 10 et 50 millions d'années. De cette collision, sont nées la Terre et la Lune. La plupart des débris se sont rassemblés en un disque de matière autour de la Terre pour former la Lune. Puis celle-ci s'est éloignée de notre planète tout en ralentissant son mouvement de rotation. La lune est l'astre le plus proche de la Terre. Elle en constitue l'un des deux satellites naturels. La Lune est indispensable à la stabilité des conditions climatiques de notre planète car elle la maintient sur son axe qui, si elle n'était pas là, serait incliné de 0 à 90 degrés. Ainsi à 90°, il y a 6 mois de nuit et 6 mois de jour et les pôles sont à l'équateur. Le climat devient trop chaud et trop froid pour que la vie s'installe. D'autre part, c'est grâce aux marées, donc à la Lune, que la vie a pu sortir des océans. |
vendredi 19 octobre 2001, 16h59 Bien que les armes chimiques et biologiques aient des portées limitées soit dans lespace soit dans leur mise en application, « ce sont les armes de la terreur par excellence », affirme Simon Wessely, professeur de psychiatrie à Londres, dans un éditorial de la revue BMJ. « En suscitant leffroi, la confusion et un futur incertain », ces armes, selon Wessely, constituent un instrument de vengeance dordre psychologique. Leurs effets se présentent sous deux aspects, lun aigu lautre à long terme. « Il est normal de sattendre à un état de panique générale si de telles armes sont effectivement utilisées ou même juste envisagées », poursuit-il. Le chercheur reconnaît quil est difficile de prévoir la façon dont va se matérialiser cette peur mais il rappelle que lon connaît déjà une réaction psychologique qui commence à se matérialiser, cest ce quil nomme la maladie sociologique de masse. Le 29 septembre 2001, 16 collégiens de Washington et un professeur ont été admis à lhôpital à la suite de fumées colorées ayant suscité une panique provoquée par la crainte dune attaque bio terroriste. Le 3 octobre, plus de 1000 étudiants de différents pays ont cru ressentir des symptômes grippaux à la suite de rumeurs dattaques bioterroristes et ont investi les cliniques. Le 9 octobre, un homme a reçu une vaporisation dune substance inconnue dans le métro du Maryland, ce qui a conduit 35 personnes à se plaindre soudainement de nausées, de maux de tête et de gorge. En fait, le vaporisateur contenait du lave vitres. Wessely met également en garde les autorités de sécurité sur les dangers de la propagation et de lamplification des peurs pouvant avoir un impact considérable sur le psychisme. Il dit par exemple que « la mise en place de capteurs chimiques dans le métro de Washington peut engendrer des désordres du système de transport plus importants que lattaque elle-même ». Plus de 4000 alertes ont été enregistrées lors de la guerre du golfe et aucune na été réelle », ajoute-t-il. Le climat général de malaise existant aujourdhui et lanxiété présente depuis notamment la guerre du golfe (pour laquelle aucune publication na dailleurs été publiée quant à ses conséquences psychologiques, sociales ou politiques, note Wessely) va exacerber les désordres psychiatriques et augmenter les risques de maladies sociales de masse, selon Wessely. « Lincertitude, la frustration et dautres facteurs engendrés par ces menaces terroristes, ont besoin dêtre pris en charge par les pouvoirs publics », préconise-t-il. Source : BMJ2001 ;323 :878-9. |
A suivre... |